Je
me souviens encore du jour ou mon frère m’a ramené le premier Animal Crossing
sur GameCube. Le topo expliqué, j’ai très vite compris que j’allais passer
énormément de temps dans ma nouvelle simulation de vie. C’était en 2002,
j’avais 11 ans et Free Loader en main je pouvais enfin me lancer dans cette
nouvelle expérience vidéo ludique. Dix
ans après je vous parle du dernier opus sortis dernièrement sur 3Ds.
dsd
Animal
Crossing New Leaf est un de ces genres de jeux qu’il est impossible de lâcher
lorsqu'on le commence. Même si cela peut paraitre quelque peu redondant au
premier abord, on peut facilement se rendre compte qu’il y a beaucoup de choses à
faire, à construire, à entretenir, à collectionner, et j’en passe !


Avec
ce quatrième opus, la saga a su conserver ses traditions : pour faire court, commencer ce jeu, c’est rentré dans un univers
totalement mignon, constitué de voisins comme Axel l’éléphant, Medhi le chien
(véridique) et où il faudra construire sa petite vie paisible.
Ce nouvel opus nous réserve une très belle nouveauté puisque l’on débutera
le jeu en tant que Maire de la ville. Vous pourrez bâtir des ponts, fontaines
et autres joyeusetés (aussi décoratives que fonctionnelles), mais surtout,
instaurer des réformes, comme par exemple, poser un couvre feu. Les couches
tard préfèrerons moduler les horaires des habitants/boutiques sans avoir à
changer l'horloge du jeu. Bref, les nouveautés sont là et plutôt
appréciables !
Mais être maire est aussi une
lourde charge, puisque contrastant avec tout ces avantages, vous devrez faire au mieux
pour rester en tête des sondages et par
exemple régler quelques problèmes de voisinages.
Malgré son aspect enfantin,
Animal Crossing est une apologie du capitalisme. Et oui, l’argent est une des
bases principales du jeu puisque sans lui, comme dans la vie réelle, les
possibilités de développement sont moindres. Et même si quelques pièces
tomberont des arbres, le business autour des navets achetés le dimanche matin
vous rapportera bien plus.
Mis a part ça, le jeu reste
un Animal Crossing : l'insectosafari un dimanche par mois, la chasse aux
clochettes, le troc de meubles et bien entendu le multijoueurs jusqu’à quatre dans un village. Et nous
n’oublierons évidemment pas les personnages emblématiques du jeu tels que Kéké,
Tom Nook et Monsieur Resetti.
On
notera la patte graphique marquante et appréciable qui nous change des univers
sombres des productions actuelles.
Enfin
on n'oubliera pas le côté multijoueurs toujours plus aboutis d’épisode en épisode.
Grâce à la liste d’amis de la 3DS, vous pourrez vous déplacez de bourgade en
bourgade afin de découvrir l’univers de vos compatriotes. Échanger des fruits,
des meubles, et même des vêtements grâce aux QR codes. Bref, la constitution
d’un cercle relationnel devient appréciable
dans le jeu puisque vous ne vous sentirez plus jamais seul.
Animal
Crossing est un jeu qui partage les joueurs. Tout le monde n’est pas forcement ouvert à jouer à ce genre de jeux.
Malgré tout, il a su conquérir le cœur de milliers de gamers grâce à son
côté glandouille que certains apprécieront particulièrement après une intense partie de
The Last Us.
Après
deux semaines de jeu, je reste conquise par cet opus 3ds me permettant de me
détendre et d’oublier le stress du quotidien à travers ma ville, ses habitants quelques fois pénibles, ou même le
remboursement fictif du prêt de ma maison (Tom Nook est plutôt cool puisqu’il n’envoie
jamais les huissiers).
Dans tous les cas vous pouvez me retrouver sur le jeu et passer me faire un coucou ! Pensez donc à m'ajouter en ami 3DS (2148-8256-7512) et laissez moi bien votre code ami dans les commentaires pour que l'on joue ensemble. ♡
Merci à Maxou mon poto de jeux qui m'a bien aidé toute la nuit à rédiger l'article pour que vous l'ayez ce matin ! :)